▶︎ 7 € / 1,25 € (article 27)
▶︎ Durée : 1h05
▶︎ Spectacle tous publics à partir de 14-15 ans
▶︎ POINT COVID
Pour assister à ce spectacle, il N’EST PAS demandé d’être en possession d’un Covid Safe Ticket.
La jauge d’accueil est limitée et il est obligatoire de :
✓ Porter un masque
✓ Maintenir la distanciation sociale
De et avec Laure Chartier
Mise en Scène : Aurélie Trivilin
Assistante à la mise en scène: Sania Tombosoa
Scénographie & Costumes : Delphine Coërs
Lumière : Laurent Kaye
Directeur de tournée : Pierre Hendricks
Diffusion: Cie le Brame de la Biche/ Sania Tombosoa
Une production du théâtre Le Public.
Avec le soutien du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge, de la Commission Communautaire Française, et d’Amnesty International.
C’est l’histoire vraie d’une fille sans histoire.
Généralement, cette fille-là, personne ne la remarquait particulièrement. Un soir où elle marchait dans la rue, il lui est arrivé quelque chose. Quelque chose… Ce sont des choses qui arrivent…
Ce n’était sans doute pas si grave, ça peut arriver à tout le monde, on ne va pas en faire une montagne ! Non ? C’est vrai, faut pas exagérer, personne n’est mort non plus !
Laure raconte cet après … Que se passe-t-il après ça ? Les victimes sont encouragées à porter plainte mais quels parcours les attendent ? Qui croisent-elles ? Comment sont-elles considérées par les médecins, les flics, les juges, les ami(e)s…
La représentation sera suivie d’un bord de scène en compagnie de la comédienne Laure Chartier et de Dominique Deshayes, coordinatrice Droits des femmes à Amnesty International.
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▶︎ PRESSE
« Un cas particulier (mais pas isolé) que Laure Chartier fait résonner loin et fort, (…) avec justesse, sincérité, et suffisamment de personnalité et d’autodérision pour le délivrer du pathos. « Un fait divers » nous entraîne dans ce voyage, à la juste distance du cataclysme traversé et de la résilience. »
Marie Baudet, La Libre Belgique
« Plus qu’une pièce, ceci est un acte de bravoure. Laure Chartier y raconte l’agression sexuelle dont elle fut victime. Parce qu’aujourd’hui, dit-elle, on est prêt à entendre, enfin ! »
Catherine Makereel, Le Soir